✑ [L’Amitié] : SOS d’un coeur à prendre

Bonjour à toutes!

On se retrouve pour notre Défi du Samedi dont le thème est aujourd’hui: l’Amitié. Vaste sujet qui me tient à coeur! J’espère que cela vous plaira.

Voici les autres participantes de cette semaine:

Le poussin littéraire

✑ Heylittledolly

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#8. La déprime de fin d’hiver

En ce moment, et je rejoins en cela une grande majorité de la population prise par cet hiver dont on ne voit pas la fin et cet été qui parait si inaccessible, je suis un peu déprimée.

J’ai remarqué qu’il y a vraiment une période entre février et fin mars où il y a un creux pour tout le monde. Un moment où, blanche comme neige, grosse comme baleine, mal sapée comme… bon bref, nous nous sentons vraiment au bout du rouleau.

La joie enfantine de Noël est bien loin, notre corps n’en peut plus de se battre contre le froid et les microbes, il pleut, il fait gris, les dernières vacances sont loin et les prochaines encore plus loin. Sympa.

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#7. La passion

Je suis quelqu’un de passionné.

Quand je me jette dans un nouveau projet qui me plaît, je donne tout ce que j’ai, je ne fais rien à moitié, j’y consacre mes jours et mes nuits. Dans ces moments là je me découvre une énergie et une capacité de don de soi insoupçonnée!

Puis, quand je me lasse, quand je suis fatiguée d’avoir tout donné, ou quand mon projet arrive à sa fin, je me retrouve toute nue, errant sans but, à la recherche d’un nouvel objectif. Assoiffée.

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#6. Le regard sur soi

Je prends mon manteau, enfile une paire de bottes, saisis mon sac à main au vol.

Je serre les fesses, je contracte les cuisses, je rentre le ventre, je baisse la tête et je sors de chez moi.

Ca y est. Je suis dans la jungle.

J’évite les regards. Je les sens sur moi.

Je croise une magnifique brune parfaitement maquillée, svelte, sur des talons de 10 cm, démarche de sirène. Je baisse encore plus le menton, je l’enfouie au plus profond de mon énorme écharpe de laine pour me cacher.

Soudain, c’est le drame. Je vois au bout de la rue ce garçon que je cherchais tant à impressionner, cette fille à qui je voulais tant montrer que non elle ne valait pas mieux que moi! Ce n’est pas vrai…

Comment ai-je osé sortir comme ça? Pas maquillée, sans lentilles, mes yeux encerclés dans de grosses lunettes, portant honteusement mon acné de 7 ans d’âge et mal fagotée??

Je fuis, j’entre dans le magasin faire les deux-trois courses qui m’ont contraintes à sortir alors que je n’en avais aucune envie, je ressors et je marche le plus rapidement possible pour rentrer.

Chez moi. Ma tanière, ma protection.

Je passe la porte et dans un soupir de soulagement : ça y est, je peux pleurer.

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#5. Etre là, maintenant, juste ici, et vivre

Je trouve que c’est un vrai défi. Vivre au présent.

On a souvent tendance à penser à l’avenir, avec inquiétude ou impatience; on vit parfois dans le passé avec regrets:  des bons moments, des moments difficiles qui nous ont blessés, des fautes qu’on a commises.

J’expérimente chaque jour cette difficulté, notamment par rapport au futur, car je suis une grande impatiente et une grande inquiète.

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#3. Pourquoi n’osons-nous pas dire je t’aime?

Hier soir, mon Monsieur Grand A et moi nous sommes lancés dans une discussion vraiment intéressante sur cette question.

Nous entendons souvent dire autour de nous, surtout après un décès, « je n’ai pas réussi à lui dire que je l’aimais, j’aurais dû ».

Hormis dans nos relations amoureuses, nous n’osons bien souvent pas dire ces mots, d’un adulte à un adulte.

Alors je me pose cette question: pourquoi sommes nous aussi incapables de dire « je t’aime » à ceux qui nous sont les plus proches?

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#2. Casanière? Asociale?

… mon Monsieur Grand A me le reproche souvent…

Je suis quelqu’un qui adore analyser les gens et qui les comprend assez vite. Je suis aussi quelqu’un qui aime les Amitiés profondes, les vraies. Celles qui durent, celles dont on peut dire : « cette personne me connait vraiment ». Quand j’aime, j’aime intensément, je me donne entièrement. A en souffrir parfois MAIS c’est un autre sujet!

En revanche, s’il y a bien une chose que je déteste c’est, ce que j’aime appeler, pour taquiner, les mondanités. 

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